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Confinement Brèves
On s’y attendait un peu mais pour certains l’annonce du
confinement, à effet quasi immédiat, a été difficile à encaisser
et on pense notamment aux restaurateurs.
Pour la majorité des gens, il a fallu s’habituer à ne pas sortir de
chez soi “comme bon nous semble”, et surtout il ne fallait pas
oublier la fameuse attestation. Un certain temps a été nécessaire
avant que chacun ne s’approprie les règles précises, ou floues
c’est selon, expliquées en long, en large et en travers dans les
médias, parfois contredites le lendemain…
Puis on a dû adapter sa promenade de santé à la norme du
kilomètre. Le port du masque s’est ajouté à ces contraintes mais
tout compte fait les premières semaines se sont relativement
bien passées d’autant que la plupart d’entre nous, chanceux
d’habiter à la campagne, en a profité pour faire du tri, du
rangement, nettoyer le jardin et vaquer à d’autres occupations
pour lesquelles on manque toujours de temps.
Au bout d’un mois et demi de “liberté surveillée”, une certaine
lassitude a commencé à gagner les esprits et l’annonce du début
du déconfinement a été accueillie comme une délivrance.
Quel soulagement de ne plus avoir à regarder l’heure, pour la noter sur l’attestation, au moment de monter dans sa
voiture ! Chacun a vite pris la mesure des 100 km pour savoir jusqu’où aller et cela a fait le plus grand bien de
pouvoir à nouveau marcher en forêt, d’aller s’acheter un vêtement ou un parfum, de prendre rendez-vous chez la
coiffeuse, de reprendre le travail, de rendre visite à un proche…
Tout n’est pas encore rentré dans l’ordre, certaines contraintes pèsent (notamment le masque au travail) et il nous
faut rester prudents. Mais on croise tous les doigts pour que cette cochonnerie de COVID qui aura à jamais, et pour
longtemps, marqué l’année 2020 soit bientôt parfaitement maitrisé par les scientifiques.
Puisse-t-on au moins en retenir quelques leçons ??
Chenilles
Petites par la taille mais grandes par les désagréments qu’elles provoquent, les chenilles processionnaires ont
malheureusement fait leur réapparition au printemps dernier. Ce fléau s’est une nouvelle fois abattu, entre autres, sur
l’aire de pique-nique de la route de Contrexéville et dans le parc du Château. Ce qui a contraint la municipalité à
interdire l’accès de ces sites.
Mais comme nous avons eu beaucoup de vent à cette période, certains ont eu la désagréable surprise d’en trouver
aussi sur leur toit, sur leur façade, dans leur magasin.
Les victimes de démangeaisons se comptaient par centaines. Vu le nombre il n’y avait pas grand-chose à faire si ce
n’est d’éviter les endroits infestés et de prendre son mal en patience.
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On s’y attendait un peu mais pour certains l’annonce du
confinement, à effet quasi immédiat, a été difficile à encaisser
et on pense notamment aux restaurateurs.
Pour la majorité des gens, il a fallu s’habituer à ne pas sortir de
chez soi “comme bon nous semble”, et surtout il ne fallait pas
oublier la fameuse attestation. Un certain temps a été nécessaire
avant que chacun ne s’approprie les règles précises, ou floues
c’est selon, expliquées en long, en large et en travers dans les
médias, parfois contredites le lendemain…
Puis on a dû adapter sa promenade de santé à la norme du
kilomètre. Le port du masque s’est ajouté à ces contraintes mais
tout compte fait les premières semaines se sont relativement
bien passées d’autant que la plupart d’entre nous, chanceux
d’habiter à la campagne, en a profité pour faire du tri, du
rangement, nettoyer le jardin et vaquer à d’autres occupations
pour lesquelles on manque toujours de temps.
Au bout d’un mois et demi de “liberté surveillée”, une certaine
lassitude a commencé à gagner les esprits et l’annonce du début
du déconfinement a été accueillie comme une délivrance.
Quel soulagement de ne plus avoir à regarder l’heure, pour la noter sur l’attestation, au moment de monter dans sa
voiture ! Chacun a vite pris la mesure des 100 km pour savoir jusqu’où aller et cela a fait le plus grand bien de
pouvoir à nouveau marcher en forêt, d’aller s’acheter un vêtement ou un parfum, de prendre rendez-vous chez la
coiffeuse, de reprendre le travail, de rendre visite à un proche…
Tout n’est pas encore rentré dans l’ordre, certaines contraintes pèsent (notamment le masque au travail) et il nous
faut rester prudents. Mais on croise tous les doigts pour que cette cochonnerie de COVID qui aura à jamais, et pour
longtemps, marqué l’année 2020 soit bientôt parfaitement maitrisé par les scientifiques.
Puisse-t-on au moins en retenir quelques leçons ??
Chenilles
Petites par la taille mais grandes par les désagréments qu’elles provoquent, les chenilles processionnaires ont
malheureusement fait leur réapparition au printemps dernier. Ce fléau s’est une nouvelle fois abattu, entre autres, sur
l’aire de pique-nique de la route de Contrexéville et dans le parc du Château. Ce qui a contraint la municipalité à
interdire l’accès de ces sites.
Mais comme nous avons eu beaucoup de vent à cette période, certains ont eu la désagréable surprise d’en trouver
aussi sur leur toit, sur leur façade, dans leur magasin.
Les victimes de démangeaisons se comptaient par centaines. Vu le nombre il n’y avait pas grand-chose à faire si ce
n’est d’éviter les endroits infestés et de prendre son mal en patience.
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